Galerie : tatouer le temps avec Moka

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16. juin 2020

De montres à gousset en cadrans d’horloge, Moka tatoue le temps au sein du studio de tatouage à Paris La Bête Humaine. Illustrations.

Un tatouage pour triompher du temps

« Le temps est un feu qui me dévore mais je suis ce feu ». Cette citation, signée de l’écrivain argentin Jorge Luis Borges, certain·es client·es de La Bête Humaine semblent se l’être faite leur. Non content·es de laisser le temps dicter ses règles, ces femmes et ces hommes ont choisi de le prendre à bras-le-corps et de (tenter de) le dompter, à leur manière. Et pour ce faire, quoi de mieux qu’un tatouage ?

Des tatouages de temps sur tout le corps

Pour graver le temps dans leur peau, ils ou elles ont fait appel au talent de Moka, l’un des tatoueurs résidents du studio La Bête Humaine. Sur cuisse, sur bras ou encore sur dos, le Vénézuélien s’est attaché à représenter les secondes qui courent, les minutes qui s’enchainent et les heures qui défilent. Les aiguilles de son dermographe au service des aiguilles des montres, en quelque sorte.

Comment Moka encre-t-il le temps ?

Des points communs unissent les tattoos temporels réalisés par Moka. Leurs dimensions d’abord : ils se rapprochent moins des petites pièces discrètes que des compositions imposantes. Leur esthétique, ensuite : sur tous, le noir et gris est mis au service des contours et des lignes, des ombrages et des contrastes. Enfin, dans le travail du Sud-Américain, le temps n’est jamais seul. Dans chacune de ses pièces, les montres à gousset et autres cadrans d’horloge s’accompagnent de pétales de roses, de corneilles jalouses, de cartes à jouer ou encore d’iris où s’invite la couleur.

Se faire tatouer par Moka à La Bête Humaine

Vous souhaitez vous aussi passer sous les aiguilles de Moka ? Pour lui confier un projet, vous pouvez :

 

illustrations: 
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